Le temps des fêtes est ici et tout le monde devrait profiter pour se reposer, "recharger les batteries" et passer quelque temps avec la famille et les amis. N'oubliez pas de vous entraîner régulièrement car avec toute cette bouffe qu'on vous sert pendant ces quelques jours, on peut facilement manger un peu trop. Je suis en train de lire un excellent livre, "Lore of Running" par Tim Noakes (un médecin et coureur). Je viens d'apprendre que ce n'est pas le manque d'oxygène dans nos muscles qui nous cause la fatigue, mais plutôt un "contrôleur" dans le cerveau qui veut empêcher le coeur de passer en mode sans O2. Wow! On a un petit ordi dans nos têtes qui prévoit que nous allons manquer de l'oxygène et qui envoie le signal de fatigue (appelons-le ainsi) vers nos jambes. Et s'il se trompe et il nous reste encore pas mal d'O2 mais le petit "Intel" en nous a fait un faux calcul? Ben, même Windows Vista se trompe, pourquoi pas nous? Sur cette note, je vous souhaite de joyeuses fêtes et une bonne et heureuse année, pleine de santé, de succès et d'activité. |
Comment j'ai perdu 51 kg et devenu coureur. Je vous encourage de faire pareil. Regardez mes photos et imaginez ce que vous pourriez faire.
25 décembre 2008
Joyeux Noël et bonne année
7 décembre 2008
Trouvez du plaisir dans votre entraînement
Il y a quelques jours, je suis allé au centre de conditionnement physique. J'adore courir à l'extérieur, même dans des conditions très difficiles, mais ces jours-là, lorsqu’il fait froid ou quand il pleut ou, bref, que le temps n'est pas clément, c'est une bonne option. |
23 octobre 2008
Pas une, mais deux fois
Mes objectifs pour 2008 étaient clairs: 5 km en moins de 24 minutes et 10 km en moins de 50 minutes. Alors, vu que j'ai fait ma seule course sur 5 km en 23:56 et ma deuxième course sur 10K en 49:35, il est évident que j'ai atteint mes objectifs. |
14 septembre 2008
Une course parfaite (ou presque)
Ce matin, j'ai couru ma deuxième course sur 10 km. Mon objectif était de le faire en moins de 50 minutes (et ma première course était de 51:39). Puis, la pluie - je n'ai jamais fait de course sous la pluie et même les entrainements du genre n'étaient pas nombreux. Donc, je ne savais pas comment faire. Heureusement, quelques amis coureurs m'ont donné des conseils et cela marchait parfaitement. Enfin, on est parti. Devant moi un embouteillage monstre et je dois zigzaguer pour avancer. Des joggers (ceux qui ne se préoccupent pas beaucoup si quelqu'un veut avancer) prennent toute la largeur de la rue. Ben, la prochaine fois je vais acheter un klaxon puis on verra :) Au premier kilomètre, je suis à 4:45 - le temps voulu, vu que le parcours descend. Mais, mon pouls est à 166 (vu que la valeur la plus élevée que j'ai jamais vue était 183 - je la prends comme ma fréquence cardiaque maximale), soit 91% de ma FC max. Les kilomètres passent un après l'autre et mon pouls reste presque pareil. Je sais que l'adrénaline peut faire des tours car aux entrainements je ne vois presque jamais de telles valeurs et seulement quand je fais des répétitions ultra-rapides. Mais, je sais qu'à telle FC on ne peut pas endurer plus qu'une dizaine de minutes. J'ai bien sectionné ma course mentalement, par segment, et je n'ai pas eu de problèmes jusqu'à la fin. Et, ma montre affiche 49:40 (officiellement, mon temps de puce était 39:34). Ah, j'étais tellement content que j'ai eu le goût de danser. Sans l'embouteillage mentionné, j'aurais pu faire peut-être mieux, mais je suis vraiment, vraiment content d'avoir cassé la barrière de 50 minutes. Mais, je ne comprends toujours pas comment j'aurais pu rester pendant presque 50 minutes entre 91 et 95% de ma FC maximum. La question: est-ce que 183 est mon vrai maximum? |
31 juillet 2008
Des trucs rigolos
Je me prépare souvent à relater cette anecdote...et je l'oublie chaque fois. Ou bien, l'été passé, lorsque je faisais ma marche nordique à Montréal. Une fois, c'était un monsieur dans mon parc qui s'est adressé à moi en me voyant avec mes bâtons: "Hé, y a beaucoup de neige dans le parc!" ou un autre qui m'a simplement dit: "Vous avez oublié vos skis!" Ils se pensaient probablement drôles et j'ai compris ce que voulait dire mon ami Yves en me parlant des premiers "joggers" qu'on considérait comme des "fous en pyjama". Mais, c'est pour notre santé et pour notre plaisir qu'on fait des exercices. Donc, ce ne sont pas les commentaires des autres qui vont nous décourager. N'est-ce pas? |
24 juillet 2008
La technologie et l'exercice
L’été est bel est bien au Québec. Les vacances, le soleil, les exercices…Tout cela va ensemble. De plus en plus des gens qui font des exercices commencent à utiliser les moniteurs cardiaques. Pourriez-vous imaginer que ces appareils n’existaient pas il y a une trentaine d’années? Plus précisément, ils existaient, mas pas dans leur forme actuelle. La même chose que les ordinateurs : les ordis des années 70 étaient de la taille des armoires et pas très puissants. Les moniteurs cardiaques étaient également pas mal encombrants et avec beaucoup de fils. Je ne peux pas m’imaginer courir avec une armoire derrière moi (même sur des roulettes), puis avec le câblage qui vient avec… Heureusement, vers la fin des années 70 une petite compagnie finlandaise, Polar, a inventé des moniteurs cardiaques plus petits, voire portables, encore mieux – sans fils. Puis, les autres ont suivi : Timex, Suunto (une autre compagnie finlandaise), Nike, etc. Actuellement, on peut trouver sur le marché des moniteurs cardiaques à partir de quelques dizaines, jusqu'à quelques centaines de Dollars. Et ils deviennent de plus en plus performants. Au début, ce n’était que la fréquence cardiaque (FC) qui a été affichée. De nos jours, les moniteurs affichant la FC, la cadence, la distance etc. ne sont pas tellement rares. Depuis quelques années on trouve des moniteurs cardiaques qui gardent des informations et l’utilisateur peut télécharger les données sur ses entrainements vers sont ordinateur pour les analyser avec des logiciels. Pour nous motiver encore plus! Mais, peu importe le type ou la marque du moniteur cardiaque qu’on utilise, l’important est qu’il serve comme outil de référence pour faire des exercices à une intensité optimale – pour s’entrainer assez et en même temps pour éviter le surentrainement. |
2 juillet 2008
Êtes-vous orientés techno?
Moi - oui. La technologie occupe une place importante dans mes exercices. Depuis mon grand motivateur - mon premier podomètre, les gadgets font partie intégrale de mes entrainements. Le podomètre, le moniteur cardiaque, GPS, MP3 (déjà abandonné pour cette fin car je me motive assez même sans la musique)...Tout cela me paraît indispensable pour améliorer mes résultats et pour éviter les blessures. En réalité, c'est le contrôle des distances et des efforts que je fais au cours d'une semaine ou d'un programme d'entrainement, qui me permet d'avancer en santé. |
24 juin 2008
Ma première course sur 10 K
Enfin, j'ai réussi à faire une course de 10 km (Grand pas pour les enfants avec Standard Life). L'an passé, la maladie m'a empêché de me présenter à la ligne de départ. Logiquement, j'ai déjà fait mieux cette année au moment où je suis sorti du métro à l'Ile Sainte-Hélène, avant le départ de cette course. Tout le reste - c'était le bonus :) |
8 mai 2008
À la recherche du temps perdu
Non seulement peut-on faire des exercices, mais on peut également faire quelque chose pour les autres. Surtout pour les enfants.
Le samedi 14 juin prochain aura lieu l'événement Grands pas pour les enfants avec la Standard Life, dont chaque dollar amassé est remis à la Fondation des étoiles et reversé à quatre centres de recherche pédiatrique :
- le Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine
- l’Hôpital de Montréal pour enfants
- le Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke
- le Centre hospitalier universitaire de Québec
On vous attend en grand nombre.
2 mai 2008
Je suis de retour
8 avril 2008
Prévenir - c'est mieux
Il n'y a pas longtemps, j'ai lu dans un journal qu'au niveau du Canada, les coûts directs et indirects liés à l'obésité se chiffrent à 4.3 milliards de dollars. Ne serait-il pas mieux d'investir autant dans la prévention de cette épidémie moderne (retour d'impôt pour les frais d'inscription aux activités sportives, pas seulement jusqu'à l'âge de 16 ans comme le gouvernement fédéral le fait actuellement, etc.)? Il y a une dizaine d'années, la Finlande affichait le plus grand taux d'obésité en Europe. Puis, le gouvernement à décidé de donner un retour d'impôt pour les inscriptions aux gymnases, les compagnies ont permis à des employés de s'entrainer à n'importe quel moment de la journée et j'en passe. Et maintenant, la Finlande n'est plus parmi les "top 10" d'obésité en Europe. Bien sûr, il faut avoir beaucoup de chance de travailler pour une compagnie qui s'occupe du bien-être de ses employés (comme fait celle pour laquelle je travaille - CGI), mais en même temps il faut savoir profiter de ce qui est offert. Si votre compagnie à mis à votre disposition une salle d'entrainement et les appareils de conditionnement physique, pourquoi ne pas en profiter. Vous aller diminuer votre stress et votre poids :) |
28 mars 2008
Comment perdre 330 livres
C'est surprenant que ça se peut! |
15 mars 2008
En forme, malgré l'âge
Non, ce n’est pas à cause de mon anniversaire - je ne considère pas 50 ans comme un âge avancé, donc je ne déprime pas ;-). C'est une autre idée qui m'est venue à l'esprit aujourd'hui. Ce sont des exemples de vitalité, longévité, persévérance dont je me suis rappelé. L'autre jour j'ai lu d'un certain Buster Martin, Britannique de 101 ans qui venait de terminer un semi-marathon et qui se prépare pour son (je pense) premier marathon complet - celui de Londres. Puis, je regarde autour de moi au gym – plusieurs septuagénaires qui s’entrainent presque tous les jours. Et enfin – ma source d’inspiration depuis que j’ai commencé à courir – le phénomène appelé Ed Whitlock. Cet Ontarien, né en 1931, est une vraie machine à courir et un motivateur exceptionnel. Imaginez-vous : à l’âge de 75 ans il a couru un marathon en moins de trois heures!!! Il détient 13 records mondiaux dans différentes disciplines pour différents groupes d’âge. Et il court chaque jour entre 2 et 3 heures. À quoi ressemblerait son cœur : à une pompe bien huilée et entretenue qui va fonctionner encore très longtemps. Tout cela pour dire qu’il faut s’entrainer, garder la forme physique, pour aider notre corps à fonctionner même à l’âge avancé, ce qui permettra de garder en même temps nos capacités mentales. Sans utiliser les médicaments. Car, enfin, il ne faut pas tellement stimuler l’industrie pharmaceutique – ils ont déjà trop d’argent. Aidons-nous nous-mêmes à rester en santé à 70, 80, 90 ans… Je ne pense pas courir un marathon en bas de trois heures à l'âge de 75 ans, comme Ed Whitlock, mais je serais très content de courir 5 ou 10 km à 65 ans et puis, on verra. C'est déjà beaucoup mieux que ce que fait la plupart des gens autour de nous. |
12 mars 2008
Ah, ces formules
N'ayez pas peur - je ne parlerai pas d'un cours des mathématiques. |
5 mars 2008
Un homme bionique
22 février 2008
On peut, si on veut
Les fans du Canadien de Montréal vont me comprendre. Vous souvenez-vous du match contre les Rangers mardi soir? Bien sûr, qui ne s'en souviendrait pas. Même en tirant en arrière (de 5 buts), ils n'on jamais baissé les bras. Ben, faut pas exagérer - contre les Manchots ils n'ont pas réussi, mais ils ont fait quand-même une excellente remontée. |
8 février 2008
Un autre bon exemple
Voilà trois semaines que mon ami (actuellement à Buffalo, NY) a commencé à maigrir. Pas n’importe comment. D'une façon assez intelligente - en changeant ses habitudes alimentaires et en faisant des exercices avec les zone de fréquence cardiaque. Vu qu'il commence à 358 livres (plus e 160 kg), c'est normal que sa perte du poids soit assez rapide en ce moment. Peut-être un peu trop rapide, mais vu la masse actuelle et les changements drastiques qu'il a apportés à sa vie, ce n'est pas tellement surprenant. Donc, en trois semaines il a perdu 20 livres (environ 1 livre par jour). Mais, voilà le hic! Il s'entrainait 90 minutes par jour sur le tapis roulant. J'ai insisté qu’il le fasse entre 30 et 40 min maximum, mais il se sentait bien...Jusqu'à il y a deux-trois jours. Alors, il a sa première blessure sportive: une ampoule sur le pied. Ce qui est bon, c'est qu’il ne baisse pas les bras. S'il ne peut pas marcher, il peut faire d'autres exercices (elliptique, poids, etc.). Et, ce qui est excellent, c’est qu’il est toujours motivé. Vous souvenez-vous d’un de mes posts dans lequel j’ai indiqué (ce qui est le résultat d’une étude que j’ai trouvé sur internet) qu’après environ trois semaines chaque activité devient une habitude? C’est ce que lui arrive : il s’est habitué à ses entrainements et à sa nouvelle façon de manger. Il m’a appelé il y quelques minutes, et m’a demandé comment était-il possible qu’il gagne 5 livre en une seule journée sans changer drastiquement ses habitudes alimentaires. En lui posant des questions, j’ai découvert qu’il a mangé la nourriture épicée, et qu’il a bu beaucoup d’eau, ce qui est logique. Même si on mangeait comme un cochon, il est impossible d’avoir 2.5 kg de gras de plus en une seule journée. Généralement, c’est l’eau (précisément : la rétention d’eau) qui est en cause. Aujourd’hui, il a eu 2.5 livre de moins. Donc, cela s’arrange! Il peut se peser chaque jour, mais la tendance se voit une fois par semaine. Donc, pas d’obsession pour se peser et pas de panique si on gagne ou on perd un peu plus ou un peu moins en une journée. Bonne activité et ne lâchez pas!
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3 février 2008
Malgré tout...
Ben, si le froid ne peut pas m'arrêter, un méchant rhume peut le faire :( Je ne m'entraine pas depuis une semaine, ou si vous préférez, "sebaine". J'ai atrappé un méchant virus et j'ai l'impression qu'il revient et que je vais faire un autre tour. J'espère que non. Je me sens comme les joueurs du Canadien il y a un an: détruit. Même une petite course de 500 m serait trop pour moi. Ayoye! Je dois patienter. On ne peut pas risquer des complications ou de prolonger cette maladie inutilement. Quand je reprend, je ne vais pas continuer mon programme là où je me suis arrêté. Malheureusement, une semaine de repos veut dire deux semaines de lente montée de forme. Donc, pas de même niveau de stress comme avant pendant au moins deux semaines. Normalement, le rhume ne m'empêche pas de courir (le nez qui coule - c'est rien, ou presque), mais quand je n'ai pas assez d'énergie, quand je tousse et ne peux pas marcher - c'est différent. Ne négligez pas la maladie. On dit que les problèmes en haut du cou (nez, mal à la gorge) ne devraient pas vous arrêter de vous entrainer, mais s'il y a une fièvre ou la toux persistante - prenez une pause le temps de guérir. Cela vaut la peine d'arrêter pendant quelques jours pour ne pas perdre plusieurs semaines. |
25 janvier 2008
Pas trop...ni trop peu
Ces derniers jours je m'entraine en peu plus en salle. J'aime bien l'hiver, mais depuis quelques semaines je travaille assez loin et je ne trouverais jamais 45 minutes le soir, après le boulot. La nuit, le froid... tous cela tue la motivation. Alors, je regarde les gens autour de moi. Je suis fasciné! Il y en a qui souffrent (beaucoup, à vrai dire, et inutilement). Mais, ils persévèrent et reviennent plusieurs fois par semaine. Il y en a qui s'entrainent comme des fous pendant une heure (comme moi), sans soufrir et avec beaucoup de plaisir...tellement de plaisir que certains exagèrent quant à l'effort. J'ai vus plusieurs marathoniens, des triathlètes, des coureurs ordinaires (un gars très sympa qui s'entraine pour avoir plus d'endurance pour hockey). Des gens plus ou moins réguliers. Puis, j'ai remarqué également qu'il y en a qui commencent à courir très vite (plus de 10 km/h) sans se réchauffer. Simplement - ils posent les pieds sur le tapis roulant et démarrent la machine à pleine vitesse...Je me pose une seule question: "Jusqu'à quand?", ou, si vous voulez que je le dise autrement: à quand la prochaine blessure? Je vois qu'il y des gens qui suivent un certain programme de conditionnement physique, d'autres sont autodidactes mais savent quelques détails sur l'entrainement avec des zones et, bien sûr, il y en a qui sont là, mais ne savent pas pourquoi. Les gens qui s'entrainent avec l'effort inégal: certains trop, d'autres trop peu. Ni les un ni les autres n'auront les résultats espérés. Comme dans presque tout - la modération a bien meiller goût :)
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9 janvier 2008
Si vous pensez que le froid peut m'arrêter...
J'admets - cette semaine il ne fait pas froid à Montréal. Mais, il y a une semaine (jeudi passé), il faisait -19°C (-25°C avec le vent). J'ai mis tout mon équipement (trois couches en haut, pareil en bas, doubles mitaines, une balaklava, même si je préfère les baklavas :) ) et je suis sorti courir au parc. Heureusement, les gens de la Ville de Montréal on déblayé les sentiers et je pouvais courir presque normalement. Presque. Car sur la neige on n'est jamais aussi rapide que sur l'asphalte bien sec. Donc, je suis sorti et après un bon réchauffement, je me suis dirigé vers le parc. Ah! Il faisait tellement froid! Brrrrr! Mon souffle gelait. Mais, déjà quelques minutes plus tard et quelques tours parcourus, c'était beaucoup mieux. J'ai rencontré les gens de la Ville qui faisaient toujours des travaux de déblaiement et je leur ai remercié. Oui, je sais que c'est leur travail, mais ils m'ont permis de courir dans le parc lorsque c'était impossible sur les trottoirs. J'ai apprécié beaucoup... Bref, j'ai couru pas mal rapidement pendant 45 minutes et mon chapeau était blanc (normalement, il est noir), pareil pour la balaklava. Mes sourcils ressemblaient à ceux du Père Noël (hé, normalement je n'ai pas de sourcils blancs!). |