7 août 2010

Un peu d’histoire (sans aller aux temps des Romains)

J’ai des gènes d’athlète, mais je l’ignorais longtemps. J’ai des gènes d’intello – cela je ne pouvais pas ignorer. Fils de professeur et d’enseignante, petit-fils des enseignants, arrière-petit-fils des enseignants – assez évident que j’étais plutôt né pour le livre que pour les espadrilles.

Mais, d’autre part, mon père était un athlète d’assez haut niveau. Lanceur de poids et de disque (occasionnellement, de marteau), sprinter malgré sa taille (1,90 m), il s’essayait même aux 110 m haies quant son club en avait besoin (une fois, il est devenu champion local dans cette discipline). Volleyball (membre de l’équipe provinciale à l’époque), karaté et water-polo sont parmi d’autres sports qu’il pratiquait.

Quand papa allait s’entrainer au stade d’athlétisme, il m’amenait souvent avec lui. Et pendant qu’il lançât le poids et le disque, je m’amusais dans le sable pour le saut à la longueur. Malheureusement, papa n’a pas réussi à m’intéresser pour le sport. Certes, j’ai eu certains résultats au karaté et je jouais au ping-pong, mais je ne démontrais pas trop de persévérance.

Bien sûr, avec un tel pédigrée, personne n’aurait dit que j’avais même un petit peu de talent d’athlète. J’étais probablement le dernier à y penser.

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