14 juillet 2012

Mon bon voisin

J’ai déjà écrit sur la complicité entre les coureurs. De beaux gestes – un petit “Salut!” ou bien un “high five”. À vrai dire, mon “voisin”, je ne le connais même pas. C’est un gentil inconnu que j’ai vu pour la première fois dimanche après-midi.
J’ai déjà parcouru six kilomètres et je venais de terminer un sprint de 400 m. Donc, je récupérais. Essouflé, bien sûr, car après 400 m à grande vitesse, on ne peut pas respirer normalement. Je regardais ma montre pour vérifier la distance totale parce que j’ai utilisé de nouveaux souliers et mon accéléromètre n’était pas tout à fait calibré. Soudainement, en sortant de sa maison, un monsieur me demanda: “Are you OK?”. “Yes, I’m fine.” - ai-je répondu. “Do you need some water?”. “No thanks.” “Are your sure?” insista-t-il. '”Everything is fine, thanks. I just finished my sprint so I am recovering.”. Et mon bon voisin d’Hampstead s’éloigna.
Je n’ai aucune idée s’il s’agit d’un coureur ou un ex-coureur, mais j’ai tellement apprécié son geste. Cela me donne la confiance que je pourrai demander de l’aide si un jour j’en ai besoin. Et cela compte beaucoup. Merci, mon cher voisin.

4 commentaires:

  1. Voilà une belle histoire et tu as raison ont ne connais pas assez ses voisins... Je découvre ton blog, super intéressant... Je tiens moi aussi un blog sur la CAP, tu viens dire bonjour quand tu veux :-)

    RépondreEffacer
  2. C'est vrai que la complicité entre coureurs est intéressante (et qu'elle donne un p'tit boost à l'occasion). Encore plus cool lorsque c'est un voisin!

    RépondreEffacer
  3. Il y a et aura de plus en plus de voisins sur la planète...et de moins en moins d'eau, autant en prendre soin !
    amicalement
    http://ronan-justepourfinir.blogspot.com

    RépondreEffacer
  4. Ce n'est un secret pour personne que j'ai une relation très profonde et personnelle avec Dieu. J'ai poussé et résisté à cette relation l'année dernière à cause de toutes les conneries que j'ai dû vivre avec l'herpès, mais encore une fois, Dieu est plus grand que mon entêtement et a brisé l'épidémie de fièvre et tout ce que j'avais de l'herpès génital. Pour moi personnellement, entendre maintes et maintes fois que je ne suis pas assez bon a vraiment envahi mon esprit de la pire façon possible. Je me suis complètement arrêté et je me réveillais comme ceci: comment la vie va-t-elle mettre fin à cette épidémie d'herpès temporaire: "baise tout le monde avec l'herpès si tu vois ce que je veux dire" mais soyons honnêtes ici ...
    C'est un lâche de dire non à la phytothérapie. C'est basé sur la peur. Et c'est malhonnête à ce que mon coeur veut. Ne construisez pas de mur autour de vous parce que vous avez peur des plantes herbacées ou de prendre des mesures audacieuses, en particulier en ce qui concerne les problèmes de santé et la guérison. Tant de jeunes hommes / femmes me disent encore et encore que le Dr Itua va m'escroquer, mais je le tente. Aujourd'hui, j'ai le sentiment que personne ne me convaincra jamais de la phytothérapie. J'accepte le phytothérapie du Dr Itua parce qu'il guérit mon herpès. cela fait seulement deux semaines que je bois et que je vis depuis un an et des mois maintenant, je n’ai plus d’épidémie, vous pouvez le contacter si vous avez besoin de ses médicaments à base de plantes pour des maladies telles que, herpès, hépatite, VIH, épilepsie, stérilité, amour Épeler,. Email..drituaherbalcenter @ gmail.com alors quelle est l'application + 2348149277967 .... Mon conseil à tous les hommes / femmes malades est simple ... Soyez toujours un livre ouvert. Soyez honnête en vous parlant honnêtement de vous-même, de votre situation et de ce que vous êtes. Ne retiens rien. Se retenir ne vous mènera nulle part ... peut-être un aller simple pour Lonelyville et ce n’est PAS un endroit où vous voulez être. Donc, ma vérité finale… et je commence tout juste à comprendre celui-ci…

    RépondreEffacer